mardi

ATHENES 5



Date : 28.02.2012

Lieu :
Nosotros (stekis -type de structure sociale ouverte- à Exarchia)

Réunion :  personnes venant de l'europe qui viennent en Grèce pour l'activisime politique

1. Tour de paroles des gens : prénoms + nationalités :
Des gens de France de Belgique d'Espagne d'Italie d'Hollande Australie et... Grèce.

2. Tour de parole libre (ce que je retiens de manière TRES subjective)


Une femme de Grèce : "Les gens commencent juste à s'organiser en collectivité, pour la nourriture ou pour d'autres choses. Nous venons d'une époque de consumérisme  et d'invidualisme, nous devons maintenant sortir très rapidement de ça pour revenir à l'aspect plus communautaire et c'est assez compliqué"

Un homme d'Allemagne : "Les médias par exemple chez nous disent que les grecs sortent dans la rue pour dire merci à l'argent et l'aide européenne"

moi : Les medias "officiels" axent le combat sur la crise et fausse le débat (la crise la crise la crise...) et les informations (ca ne concernerait que la Grèce et nous serions tous, nous les autres, à l'écart... ou axent les informations de la Grèce sur la violence)

"Les débats un peu plus développés sur l'économie et les alternatives économiques sont censurés des radios et journaux"

"Les gens comprennent que c'est plus qu'un combat contre les banques ou contre la dette mais une véritable quête de la démocratie et de la liberté. "

moi : Je sens comme une situation d'urgence ici, à organiser les alternatives et je suis loin d'être la seule à le dire et le penser encore une fois, et il y a les gens déjà engagés dans les autres pays qui soutiennent et sentent la situation s'étendre partout et tentent de soutenir la Grèce par exemple  avec l'action des 3 et 4 mars "#occupybank we are all greeks"

Il est l'heure de reprendre son pouvoir politique ou d'apprendre son pouvoir politique de s'organiser entre nous et etre plus visibles dans nos propositions d'alternatives d' etre nos propres médias plus que jamais. Les choses vont vites très très très vites et je sens un changement tout près et même déjà... en marche.


"Time for unity. Can we all decide together ? Athens is the heart of the changement"



Et la discution avec Jerome de Berlin sur les "indignés". A la question "vous êtes du mouvements des indignés ?" je ne savais pas quoi répondre. Certes nous en venons, mais à dire que nous le sommes encore, non, je ne pense pas. Nous sommes des gens qui voulons comme beaucoup d'autres impulser un changements, pas des "indignés" cette énorme case médiatique et réductrice. Le mot "indigné" ne fait que constater dépité la réalité. Si nous sommes "des gens qui voulons impulser un changement et recréer une nouvelle société" nous sommes bien plus nombreux que "les indignés" et nous avons bien plus d'espoir et de propositions que ce mot le laisse entendre.
Les indignés sont une jolie case dans laquelle nous mettent les médias, et c'est bien pratique pour eux de montrer les images sales d'un campement, de dire que le mouvement n'existe pas en France, qu'il s'essouffle en Espagne...

Jolie case de laquelle nous avons à sortir maintenant, l'aventure va bien plus loin.

 J'invite ceux qui ne savent pas trop quoi faire pour aider le mouvement à se renseigner sur le mouvement colibri et commencer à rejoindre des alternatives comme les écovillages, les transitions, les SEL (système d'échange local), à rejoindre les marches en France qui partiront début mars en direction de Paris, de participer activement au FIEP, d'écrire sur tous les murs, en désordre ou en ordre leurs idées, de chanter dans le métro, et toucher son voisin pour le plaisir du contact physique, de sourire pour rien à tout le monde, de faire un pas de plus vers l'autre chaque jour, de se demander ce que nous savons vraiment sur la conscience et la conscience collective, de chercher les moyens de déplacer les limites établis.


Amusons nous bien, c'est le moment de créer, le bon moment, le meilleur... le seul moment.

Traduction

Ubicación: Nosotros (stekis - tipo de estructura social en abierto - Exarchia)

Reunión: gente de Europa que llegan a Grecia para activisimo político

1. Turno de palabra: nombres + nacionalidades: gente de Francia, Bélgica, España, Italia, Holanda, Australia ... Grecia.

2. Turno de palabra libre (lo que recuerdo de manera muy subjetiva)

Una mujer de Grecia:. "La gente está empezando a organizarse en comunidad, para la comida o para otras cosas Venimos de una época de consumismo y invidualismo, ahora tenemos que salir de ella muy pronto para volver que se ve más en la comunidad y es muy complicado "

Un hombre de Alemania: "Los medios de comunicación, por ejemplo, en que nos dice que los griegos salen a las calles para dar las gracias a la ayuda de dinero y de Europa"

Yo: Los medios de comunicación "oficiales" están centrados en la lucha contra la crisis y distorsionan/falsean el debate (la crisis, la crisis, la crisis ...) e información (eso sólo se referia a Grecia y todos seiamos, nosotros los otros, ... o están concentrando la información sobre la violencia de Grecia)

"Los debates un poco más desarrollados de la economía y las alternativas económicas son censurados periódicos y emisoras de radio"

"La gente entiende que esta es más que una lucha contra los bancos y en contra de la deuda, sino un verdadero camino hacia la democracia y la libertad."

Yo: siento como una situación de emergencia aquí, para organizar las alternativas y yo no soy el único que lo dige o le piense otra vez, y hay personas que ya participan en otros países que apoyan y se sienten la situación a su alrededor y tratar de apoyar a Grecia, por ejemplo con la acción del 3 y 4 de marzo "# occupybank todos somos griegos"

Es hora de recuperar su poder político o de aprender a organizarnos y ser más visible en nuestras propuestas de alternativas de ser nuestros propios medios de comunicación más que nunca. Las cosas van muy muy muy rapidamente y siento un cambio ya muy cerca y ya en camino

"La hora de la unidad. Puede que todos decidimos juntos? Atenas es el centro del cambio"



Y discucion con Jerome de Berlín sobre los "indignados". Cuando se le preguntó "estas del movimiento de los indignados ?" Yo no sabía qué decir. Cierto venimos de esto, pero decir que estamos todavía, , no lo creo. Somos gente que queremos como muchos otros estimular un cambio, no "indignados" este cuadrado enorme mediatico de reducción. La palabra "indignado" se limita a reconocer la realidad decepcionado. Si somos "gente que quiere impulsar el cambio y volver a crear una nueva sociedad", que son mucho más numerosos que los "indignados" y tenemos mucha más esperanza y propuestas que la palabra sugiere.
La indignación es un bueno cuadrado en la que nos ponen los medios de comunicación, y es conveniente para ellos para mostrar imágenes de una acampada sucia, para decir que el movimiento no existe en Francia,que se está debilitando España ...

Cuadro que nos tenemos que salir ahora, la aventura va más allá.

Invito a los que no saben qué hacer para ayudar al movimiento a buscar informaciones sobre el movimiento del Colibrí, a unirse a las alternativas de colibríes, como las ecoaldeas, las transiciones, los “SEL”(sistema de intercambio local), a juntarse en Francia con las marchas a Paris que saldrán a los principios de marzo a París, a participar activamente en FIEP, a escribir en cada pared, en el orden o el desorden sus ideas, a cantar en el metro, y tocar a su vecino por la felicidad del contacto físico, a sonreír a todos para nada, a dar un paso más cerca al otro todos los días, a hacer preguntarse acerca de la conciencia y la conciencia colectiva, y a buscar maneras de mover los límites establecidos.


Bueno, vamos a divertirnos, que es el momento de crear, el momento adecuado, lo mejor ... lo único

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